« Le musulman n’a qu’un quart de cerveau » d’après Philippe Val

 

C’est rapide mais explicite

 

 

Difficile de le sortir de son contexte, explication :

Philippe Val est né le 14 septembre 1952 à Neuilly-sur-Seine, c’est un journaliste français et le directeur de la publication et de la rédaction du journal Charlie Hebdo de 1992 jusqu’en mai 2009. Il est actuellement directeur de France Inter.

Ce qui est comique au plus haut point c’est que Philippe Val est un farouche partisan du maintien de la loi Gayssot, qui « tend à réprimer tout propos raciste, antisémite ou xénophobe » et donc l’expression de théories négationnistes. Sauf évidemment les propos racistes sur les musulmans, les noirs africains, et tous les peuples que Mr Val considère comme des êtres vivants qui n’ont qu’un « quart de cerveau. »

Il entend dénoncer aujourd’hui également les rapprochements entre une partie de la gauche et les mouvements islamistes. Pour s’être plusieurs fois distingué du mouvement altermondialiste et d’une partie du mouvement antiraciste (en particulier lors de la conférence de Durban en 2001, où il reproche à ce mouvement d’avoir qualifié le sionisme de « racisme ») et également, entre autres, pour avoir été sévère avec plusieurs mouvements d’extrême-gauche en particulier pour leur manière de critiquer les médias, les accusant de céder à la théorie du complot, il s’est très violemment fait critiquer par ces derniers.

Oui Mr Val, le sionisme, massacrer des populations civiles depuis plus de 60 ans, mettre ces dernières derrière des murs de béton et les bombarder comme des chiens par pur sadisme et pour tester des armes de guerre, cela effectivement n’est pas du racisme ni de la colonisation, c’est tout simplement normal, l’Etat d’Israël et Philippe Val sont élus par Dieu, leur Dieu, mais quel homme, quel peuple a voté pour le génocide palestinien ? Personne. Et ce qui est de plus remarquable chez cet homme honnête, rationnel, démocrate, c’est qu’il marque au fer rouge avec les expressions « terroristes », « conspirationnistes », « antisémites » ou « racistes », quiconque émet la moindre critique sur la politique meurtrière de l’Etat d’Israël, ou sur les médias français et les groupes industriels auxquels il sont rattachés.

A propos d’Acrimed, par exemple, Philippe Val a eu l’occasion d’écrire : « Quand on s’explique tellement mal avec son public, comme le fait Acrimed, et que la conclusion qui en est tirée, c’est que les journalistes et le monde de la presse sont les tentacules du pouvoir central, ça relève de la théorie du complot. Et pour moi, jusqu’à une époque extrêmement récente, c’était fondamentalement un thème d’extrême droite. J’ai horreur de ce qui entretient la paranoïa des gens et de ce qui l’encourage. J’accepte toutes sortes de critiques, mais rendre les gens dépendants de leur paranoïa, s’en servir, être suffisamment pervers pour l’alimenter, je trouve ça ignoble. Ils sont dangereux, mais heureusement ils sont minoritaires. »

Cette citation est extraite d’un article où il critique également l’Observatoire français des médias qu’il accuse de fonctionner selon les mêmes principes, et le Réseau Voltaire qui, selon Philippe Val, représente « la quintessence de l’art de recourir à l’explication par le complot ».

En revanche, insulter en toute impunité les musulmans, voir des complotistes cinglés partout, cela est démocratique, légal, rationnel. Philippe Val est un escroc intellectuel, dont les activités journalistiques sont lourdement orientées. Et quand on sait par ailleurs qu’il est pour la destruction de tout Etat, qu’il est favorable à un gouvernement mondial, il faudrait quand même que les gens commencent à ouvrir sérieusement les yeux sur des fascistes déguisés en humanistes : comment les détecter, très simples, ils sentent la merde et sont atteints d’une maladie mentale grave qui consiste à voir des complotistes, des islamistes et des terroristes partout.

Le 15 juillet 2008 il licencie de l’hebdomadaire  le caricaturiste Siné, qu’il accuse d’avoir tenu des propos antisémites sur Jean Sarkozy dans les pages mêmes du journal charlie hebdo que Val dirige à l’époque. Le 2 juillet, Siné, qui « sème la zone » (titre de sa chronique), écrit à propos du fils Sarkozy : « Jean Sarkozy vient de déclarer vouloir se convertir au judaïsme avant d’épouser sa fiancée juive et héritière des fondateurs Darty. » Effectivement, Jean Sarkozy s’est converti au judaïsme pour épouser l’héritière de l’empire Darty. Critiquer un mariage forcé musulman c’est autorisé, en revanche les mariages forcés des castes seigneuriales juives c’est interdit, même en démocratie. Le mariage forcé est anti-démocratique, même pour les juifs qui sont tenu sur le sol d’une démocratie de respecter ses lois. Ainsi, quelle association dénonce ce racisme juif en pleine contradiction avec la laïcité française ? Aucune. C’est même raciste d’en parler, hallucinant, je croyais qu’en démocratie on se mariait par amour, et non pas forcé de se convertir à telle ou telle religion.

Philippe Val, toujours à la même époque, alors directeur du journal charlie hebdo, a été accusé d’actes de censure, par exemple lorsque le dessinateur Lefred-Thouron démissionne de Charlie-Hebdo après un dessin refusé sur l’« affaire Patrick Font », celui-ci étant impliqué dans une affaire de pédophilie (dessin finalement publié la semaine suivante dans Charlie Hebdo). En 2000, un article d’Olivier Cyran est retouché. Celui-ci relate un dialogue entre le réalisateur Pierre Carles et le groupe Zebda et un passage dans lequel une critique contre le journal est supprimé. Plus récemment, le journaliste d’investigation Denis Robert a accusé Philippe Val d’interdire la parution dans Charlie Hebdo de tout article mettant en cause la multinationale Clearstream, dont l’un des avocats, Richard Malka, est également celui de l’hebdomadaire. Dans son éditorial du 25 juin 2008, Val a vigoureusement démenti cette affirmation, déclarant que ni lui ni a fortiori Richard Malka n’avaient jamais exercé de pression dans ce sens, et attaquant Denis Robert en retour, l’accusant de mener contre Clearstream une enquête à charge dépourvue de preuves.

La mafia, décidément, est partout.

La critique s’accentue sur Philippe Val lorsque, le 23 juin 2010, les humoristes Stéphane Guillon et Didier Porte sont licenciés de France Inter sous sa direction. En se séparant de deux humoristes vedettes assurant le pic d’audience de France Inter, il est accusé de collusion avec la présidence de la république.

Les critiques envers Val sont relancées en octobre 2010 quand l’humoriste Gérald Dahan est évincé à son tour, au lendemain d’une chronique critique envers Michèle Alliot-Marie.

 

 

Pour conclure, nous dirons juste que Philippe Val est un homme dangereux pour la république française, que cet homme doit être condamné pour ses propos autant que pour ses actes.

Wikistrike appelle à faire pression sur ce monstre fasciste dégénéré, ce mondialiste ultralibéral raciste, nous appelons le peuple à manifester devant france inter le 14 septembre à 20h00 car c’est son anniversaire et il faut lui faire comprendre à quel point nous avons tant besoin de lui offrir de nombreux cadeaux, soyez inventifs…pour appeler à la démission de ce despote version la redoute.

 

Marc Bildermann pour Wikistrike