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THE END Pour le blog


Hé oui, dur décision… mais par manque de temps je dois cesser l’activité du blog, tout seule sa devient très compliqué.
Je vous remercies tous et toutes de m’ avoir suivie, j’ espère avoir réveiller un peut de monde…
Latcho Drom (Bonne route) en espérant de se croiser sur la toile, faite attention à vous.
Amicalement, Sw1ngc

 Par ,

Ce matin, j’ai sauté dans ma voiture pour partir en direction de Mars. Un quart d’heure plus tard, je sentais la brise légère du vent martien sur mon visage, je jouais avec la terre rouge et j’observais au loin les mouvements lents et réguliers de Curiosity… Et, pour ceux qui se posent la question : non, je n’avais pas pris de drogue.

Ce matin, j’ai surtout eu la chance de découvrir la nouvelle exposition « Explorez Mars » qui se tient actuellement à la Cité de l’espace à Toulouse pendant les 18 prochains mois. Comme son nom l’indique, cette expo va tenter de nous faire comprendre la planète rouge. Les moyens mis en œuvre pour explorer Mars passent par le biais de nombreuses expériences sensorielles.

Par exemple, il est possible de comparer le souffle d’un vent  à 75 km/h sur Terre et sur Mars, de jouer à creuser le sol avec la pelle du robot Phoenix, d’observer le sol en 3D, de voir en enfilade tous les rovers martiens à la bonne échelle  dans une sorte de galerie de l’évolution robotique absolument superbe, de marcher sur Mars grâce à un simulateur de gravité martienne, de réaliser des expériences avec des animateurs étranges et hilarants…

Bref, si vous ne savez pas quoi faire de vos enfants pendant les vacances et que vous êtes à proximité de Toulouse, un petit détour s’impose. D’ailleurs en ce moment et jusqu’au 1er avril (sans blague), l’entrée pour les moins de 15 ans est gratuite si vous achetez une entrée adulte pour la Cité de l’Espace.

Pour toutes les autres infos pratiques : [Cité de l’Espace] via gizmodo


Par ,

Le Web 3.0 a longtemps été une aberration de langage servant à parler du futur d’Internet. Mot écran par excellence, ce terme donnait aux experts l’impression de maîtriser un sujet qui par essence était indéfinissable. Aujourd’hui, le Web 3.0 est pourtant juste sous nos yeux, attendant simplement qu’on lui colle enfin son étiquette. Le web 3.0 n’est plus le futur d’Internet. C’est l’Internet d’aujourd’hui. Mais c’est quoi ?

Rappel : le Web 2.0, c’est quoi déjà ?
Avant de parler du Web 3.0, il est important de revenir en arrière. Pendant longtemps le Web 2.0 ne s’appelait pas. Il a fallu attendre 2003-2007 pour que le terme s’impose enfin dans le monde. Même s’il est remis en cause (certains pensent qu’il s’agit uniquement d’un terme marketing), le Web 2.0 désigne aujourd’hui l’Internet communautaire qui permet à tout un chacun de participer à un site, d’enrichir son contenu ou d’intégrer un réseau social. Alors que le Web 1.0 était réservé aux informaticiens qui maîtrisaient l’HTML, le Web 2.0 offrait des outils révolutionnaires à monsieur Tout-le-Monde pour que lui aussi viennent enrichir la toile de ses contenus euphorisants. Les blogs, les réseaux sociaux, ou ne serait-ce que la possibilité de laisser un commentaire ont fait évoluer le Web 1.0 vers le web 2.0. Cette évolution d’Internet était évidemment liée à la mise à disposition de technologies innovantes facilitant l’interaction entre les utilisateurs.

Le Web 3.0 ?
C’est du côté des Anonymous qu’il faut regarder. Ils ouvrent la voie à une nouvelle ère d’Internet qui dans les années à venir sera désignée par le terme de Web 3.0. Alors que le Web 2.0 désigne un web participatif, intelligent, et social, le Web 3.0 désignera un Web libre, anonyme et activiste.

L’anonymat dans la masse
Nous sommes aujourd’hui à une époque charnière. Avec des usines à gaz comme Facebook, Twitter ou Google+, les grandes sociétés du Web offrent un outil communautaire international aux communautés autrefois isolées sur des blogs amateurs. Aujourd’hui ces communautés peuvent se retrouver et se regrouper sur ces réseaux sociaux, elles sont partout et elles sont légions. Toutes les grandes sociétés s’offrent des community managers afin d’avoir l’illusion de gérer ces communautés, de les maîtriser. La société est consciente du pouvoir de ces communautés et tente par tous les moyens de les rallier à leur cause.  Avec l’arrivée d’Hadopi, il y a eu une accélération de la mise à disposition d’outils permettant de chiffrer les informations entrant et sortant d’un ordinateur. Tout le monde peut aujourd’hui préserver son anonymat sur Internet en utilisant par exemple un VPN ou au pire la navigation privée de son navigateur.

L’hacktivisme pour tous
A l’époque du Web 2.0, pour être un hacker , il fallait toucher sa bille en informatique. Aujourd’hui, de nouvelles technologies comme LOIC permettent à un débutant de faire tomber un serveur. Chaque internaute dispose désormais des outils pour faire régner sa loi. Evidemment, pour crasher un site, il faut avoir une communauté qui accepte de vous suivre. Ce qui permet au système de s’autoréguler et d’éviter la plupart du temps certaines dérives dangereuses.

L’Internet libre dans un monde libre
Les Anonymous veulent ouvrir la voie à un nouvel Internet plus « citoyen » en mettant à disposition TYLER, un outil avec « une interface extrêmement simple afin que n’importe qui puisse l’utiliser » pour dénoncer les mensonges et actes frauduleux de notre société. Peu importe ce que l’on pense individuellement des Anonymous, chaque communauté aura cet outil à disposition et pourra l’utilise de la manière qui lui plaira. Car derrière l’idée d’un Internet libre se cache aussi l’idée d’un monde plus juste. Seulement, tout le monde n’a pas la même idée de la liberté. Après une période d’apparente anarchie et de désorganisation comme celle que nous vivons actuellement, je suis certain que les communautés autoréguleront Internet pour en faire une zone d’expression libre et transparente. Bien sûr, pour arriver à ce stade là, il faudra du temps, et on l’appellera peut-être même le web 4.0.

Pour résumer
Le Web 1.0 était réservé aux experts.
Le Web 2.0 était participatif et permettait aux internautes de se rassembler en communautés.
Le Web 3.0 a permis aux communautés du web 2.0 de se regrouper et d’agir ensemble en utilisant des méthodes autrefois réservées aux hackers.

Pour écrire cet article, j’ai sorti ma boule de cristal et j’ai regardé dans les viscères d’un pigeon mort sur le bord de la route. Je suis donc ouvert à toutes vos suggestions et opinions sur ce qu’est le Web 3.0. Mais s’il vous plait, restez courtois. Seul le futur pourra vous donner raison.

Photo : © N-Media-Images – Fotolia.com via gizmodo


« Le N.O.M ??? »
16 Février 2012 Par RAOUL MARC JENNAR

Pour rappel :

-TUE : traité sur l’Union européenne, première partie du traité de Lisbonne

-TFUE : traité sur le fonctionnement de l’Union européenne, deuxième partie du traité de Lisbonne

-Conseil européen : réunion des Chefs d’Etat et de gouvernement

– Traité sur la stabilité, la coordination et la gouvernance dans l’Union économique et monétaire (TSCG) : le traité Merkel-Sarkozy  encore appelé Pacte budgétaire adopté par 25 des 27 Chefs d’Etat et de Gouvernement le 30 janvier 2012. Il doit être signé le 1 ou le 2 mars avant la ratification par les différents Etats signataires.

Le mardi 21 février, à la demande du gouvernement, l’Assemblée nationale examinera en procédure d’urgence deux projets de loi :

a)    le projet de loi ratifiant la décision du Conseil européen de modifier l’article 136 du TFUE

b)    le projet de loi ratifiant le traité instituant le Mécanisme européen de stabilité (MES)

Ce qui se prépare dans un silence scandaleux alors que ces projets devraient être au cœur des débats dans toute la presse, va au-delà de tout ce qu’on a connu jusqu’ici, au niveau européen, en matière d’abandon de souveraineté, de recul démocratique et d’opacité.

Pour s’en rendre compte, il faut savoir ce qu’est le MES et de quelle procédure on use pour le faire adopter.

Le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) : un FMI européen

Le texte définitif du traité instituant le MES a été adopté par les représentants des Etats membres de la zone euro le 2 février 2012.

Ce MES est destiné à prendre, à partir de juin 2013, la suite des instruments créés en 2010 pour faire face à la crise de la dette. Ce MES et le Pacte budgétaire (TSCG) sont complémentaires : à partir du 1 mars 2013, pour avoir accès aux aides du MES un Etat devra avoir accepté toutes les dispositions sur l’austérité budgétaire contenues dans le TSCG.

Le MES, dont le siège est fixé à Luxembourg, est doté du statut d’une institution financière internationale bénéficiant des immunités dont jouissent les institutions internationales. Il n’a donc aucun compte à rendre ni au Parlement européen, ni aux parlements nationaux, ni aux citoyens des Etats membres et ne peut en aucun cas faire l’objet de poursuites. Par contre, doté de la personnalité juridique, le MES pourra ester en justice. Locaux et archives du MES sont inviolables. Il est exempté de toute obligation imposée par la législation d’un Etat Membre.  Le MES, ses biens, fonds et avoirs jouissent de l’immunité de toute forme de procédure judiciaire.

En cas de litige entre le MES et un Etat Membre, c’est la Cour de Justice de l’UE qui est compétente.

Les membres du MES sont les Etats de la zone euro. L’institution est dirigée par un collège composé des ministres des finances des Etats membres appelés pour la circonstance « gouverneurs ».  Ces gouverneurs désignent un conseil d’administration. Un Directeur général est nommé. Le Conseil des gouverneurs est compétent pour toutes les décisions relatives à l’intervention du MES. Le Conseil d’administration est compétent pour la gestion de l’institution. Le secret professionnel est imposé à toute personne travaillant ou ayant travaillé pour le MES. Toutes les personnes exerçant une activité au sein du MES bénéficient de l’inviolabilité de leurs papiers et documents officiels et ne peuvent faire l’objet de poursuites en raison des actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions.

Le but du MES est de « mobiliser des ressources financières et de fournir, sous une stricte conditionnalité, » un soutien à la stabilité d’un de ses Etats membres qui connaît des graves difficultés financières susceptibles de menacer la stabilité financière de la zone euro. A cette fin, il est autorisé à lever des fonds. Son capital est fixé à 700 Milliards d’euros. La contribution de chaque Etat a été déterminée de la manière suivante :

Membres du MES et

capital souscrit en EUR

Allemagne                                                                                    190 024 800 000

France                                                                                           142 701 300 000

Italie                                                                                              125 395 900 000

Espagne                                                                                          83 325 900 000

Pays-Bas                                                                                         40 019 000 000

Belgique                                                                                         24.339.700.000

Grèce                                                                                              19 716 900 000

Autriche                                                                                         19 483 800 000

Portugal                                                                                          17 564 400 000

Finlande                                                                                          12 581 800 000

Irlande                                                                                             11 145 400 000

République Slovaque                                                                      5 768 000 000

Slovénie                                                                                             2 993 200 000

Luxembourg                                                                                      1 752 800 000

Chypre                                                                                                1 373 400 000

Estonie                                                                                                1 302 000 000

Malte                                                                                                      511 700 000

Total                                                                                               700 000 000 000

 

Les Etats Membres, par ce traité, s’engagent « de manière irrévocable et inconditionnelle » à fournir leur contribution au capital du MES. Ils s’engagent à verser les fonds demandés par le MES dans les 7 jours suivant la réception de la demande.

Le MES peut décider de revoir les contributions de chaque Etat membre. Cette décision s’imposera automatiquement.

Lorsqu’un Etat Membre sollicite une demande de soutien à la stabilité, c’est la Commission européenne en liaison avec la Banque Centrale Européenne (BCE) qui est chargée d’évaluer le risque pour la stabilité de la zone euro, d’évaluer, en collaboration avec le FMI, la soutenabilité de l’endettement public du pays demandeur et d’évaluer les besoins réels de financement de ce dernier.

Lorsque le MES décide d’octroyer un soutien à la stabilité, c’est la Commission européenne, en liaison avec la BCE et le FMI, qui négocie avec l’Etat demandeur les conditions dont est assorti ce soutien. Cette négociation doit s’inscrire dans le respect du Pacte budgétaire (TSCG.) La Commission européenne, en liaison avec la BCE et le FMI, est chargée du respect des conditions imposées.

Le traité entrera en vigueur deux mois après le dépôt des instruments de ratification par les Etats signataires dont la souscription représente 90% du total.

On s’en rend compte, les gouvernements signataires de ce traité ont créé un monstre institutionnel contre lequel les Etats eux–mêmes et à fortiori les peuples seront désormais totalement impuissants. Ainsi se poursuit, sous la pression du monde de la finance et des affaires, le démembrement du siège de la souveraineté populaire, l’Etat, au profit d’institutions échappant à tout contrôle.

Une procédure illégale

La création du MES exige une modification de l’article 136 du TFUE. Cette modification, qui est possible si on recourt à la procédure simplifiée pour modifier un traité européen, a été proposée par la Commission européenne et adoptée par le Conseil européen le 25 mars 2011. Elle est formulée comme suit :

« A l’article 136, paragraphe 1, du TFUE, le point suivant est ajouté :

Les Etats membres dont la monnaie est l’euro peuvent établir un mécanisme de stabilité pouvant, si nécessaire, être activé dans le but de préserver la stabilité de la zone euro dans son ensemble. L’octroi de toute aide financière en vertu du mécanisme sera soumis à de strictes conditionnalités. »

Il est précisé que la base légale de cette modification de l’article 136 du TFUE, via la procédure simplifiée, est fournie par l’article 48, paragraphe 6, du TUE.

Or, cet article stipule, en son §6, alinéa 3, qu’une décision prise sous le régime de la procédure simplifiée « ne peut pas accroître les compétences attribuées à l’Union dans les traités. »

Les défenseurs du MES considèrent qu’ils n’y a pas accroissement des compétences de l’Union puisque, formellement, le MES ne serait pas une institution de l’Union. C’est jouer avec les mots, et manipuler dangereusement les textes, car le traité créant le MES indique clairement que le MES implique la participation directe de la Commission européenne, et, en cas de litige, celle de la Cour de Justice de l’UE, deux institutions de l’Union. En outre, le Commissaire européen en charge des affaires économiques et monétaires siègera dans l’instance dirigeante du MES en qualité d’observateur. C’est la Commission européenne qui sera mandatée pour imposer à l’Etat concerné les conditions d’une intervention du MES.

Il n’est pas contestable que le MES diminue les pouvoirs des Etats membres et augmente les compétences attribuées à l’Union, en particulier les pouvoirs de la Commission européenne.

Le projet de loi soumis le 21 février à l’Assemblée nationale pour ratifier la modification à l’article 136 du TFUE vise donc à permettre une extension des compétences de l’Union européenne en toute illégalité.

Un coup d’Etat

Qu’est-ce qu’un coup d’Etat ? C’est le remplacement d’un pouvoir légitime, issu du peuple, par un pouvoir qui ne l’est pas.

Le transfert, en toute illégalité, à des autorités européennes et internationales qui ne sont soumises à aucun contrôle démocratique de pouvoirs qui relèvent pas nature de la souveraineté populaire s’apparente à un véritable coup d’Etat.

Les gouvernants qui sont à la manoeuvre manifestent leur plus total mépris du respect des exigences démocratiques. Par des artifices de procédure, en interprétant abusivement des règles dont ils se moquent, ils se font les complices d’une entreprise de démantèlement de la démocratie et d’effacement d’un acquis fondamental dans l’histoire de l’humanité : la souveraineté du peuple.

Deux traités démocraticides

Avec le MES et le Pacte budgétaire (TSCG) , les peuples qui ont déjà été dépossédés des choix en matière monétaire du fait de la manière dont est géré l’euro (en particulier, le statut et les missions de la Banque Centrale Européenne), seront désormais dépossédés de tout pouvoir en matière budgétaire.

Rappelons que la démocratie est née progressivement du droit réclamé par les peuples de contrôler les dépenses des gouvernants. La Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, adoptée le 26 août 1789, en son article XIV, proclame que « Tous les citoyens ont le droit de constater, par eux-mêmes ou par leurs Représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir librement, d’en suivre l’emploi et d’en déterminer la quotité, l’assiette, le recouvrement et la durée. »

C’est ce droit fondamental qui leur est aujourd’hui enlevé.  En violation d’une disposition inscrite dans la Constitution de la République :  « Le peuple français proclame solennellement son attachement aux Droits de l’homme et aux principes de la souveraineté nationale tels qu’ils ont été définis par la Déclaration de 1789, confirmée et complétée par le préambule de la Constitution de 1946 (…). »

Ceux qui approuveront les deux projets de loi soumis le 21 février approuveront le Pacte budgétaire (TSCG) puisqu’ils sont étroitement liés. Les promesses de renégociation de ce dernier perdent leur peu de crédibilité si leurs auteurs approuvent le MES.

Ces deux traités MES et TSCG confirment que la construction européenne s’est définitivement éloignée de l’idéal démocratique.

Ces deux traités sont, contrairement à ce qu’affirme Hollande, étroitement liés. Ils alimentent l’un et l’autre transfert de pouvoir et perte de souveraineté rendant possible une totale mise sous tutelle financière et budgétaire des Etats et des peuples.

La France est la première à engager la procédure de ratification du MES. Des mouvements d’opposition se lèvent dans plusieurs pays signataires qui interpellent les élus sur leur attitude future.

En France, à ce jour, seuls Jean-Luc Mélenchon au nom du Front de Gauche et Jean-Claude Mailly, secrétaire général de Force Ouvrière, se sont prononcés clairement contre le MES et ont appelé les parlementaires à ne pas voter les textes soumis le 21 février.

Si ces deux textes soumis le 21 février sont adoptés, il est indispensable que soit saisi le Conseil constitutionnel. Y a-t-il, dans le Parlement du pays qui a donné au monde les progrès de 1789, 60 députés et sénateurs pour soumettre au respect de la Constitution des traités qui la violent ?

Raoul Marc Jennar Source http://blogs.mediapart.fr/


media_xl_4631038.jpg Peut-être faites-vous partie des personnes qui se demandent quel serait l’effet d’une bombe atomique sur nos régions. Il existe désormais une application pour répondre à vos questions.

 

Sur le site Nukemap, il vous suffit de choisir le lieu et le type de bombe que vous désirez tester et de cliquer sur « detonate » pour obtenir une carte des dommages causés. Il existe différentes sortes de bombes, avec des puissances et donc des impacts variés. On peut notamment voir les effets de celles de Hiroshima et de Nagasaki.

 

Si certaines ne se répandent que sur trois ou quatre kilomètres, d’autres montent à plus de 30 kilomètres. On vous indique également la taille qu’aura la boule de feu, le rayonnement nucléaire et le pourcentage de mortalité, le niveau de démolition des bâtiments, ainsi que la durée de ces effets (jusqu’à plusieurs semaines!).

 

C’est Alex Wellerstein, qui travaille pour l’American Institute of Physics, qui a conçu ce Nukemap afin de montrer l’ampleur de la destruction que les armes nucléaires peuvent causer. Son but était de faire comprendre aux gens à quel point la perspective d’une guerre nucléaire est terrifiante.

 

Il explique: « J’ai réalisé que les étudiants n’ont pas conscience de l’impact d’une explosion nucléaire. Avec cette carte, on réalise que ces explosions sont gigantesques, même si elles ne signifient pas la fin du monde. Beaucoup de gens pensent que si une arme nucléaire se déclenche, la planète entière va disparaître. En réalité, des bâtiments s’effondreraient, il y aurait des incendies, des blessés et la pollution nucléaire se répandrait durant des années. C’est bien plus vicieux que ce que l’on pense ». (ca)

 

Voir les effets d’une bombe atomique sur votre ville, c’est par ici (déchaussez-vous avant d’entrer)

Source Wikistrike


Invasion de corbeaux en Californie

CALIFORNIE, Pa. – Les résidents d’une ville au sud-ouest de la Pennsylvanie a dit que des milliers de corbeaux ont envahi leurs quartiers en Californie laissant derrière eux un désastre tous les soirs.Les gens qui vivent dans la région a déclaré que les oiseaux arrivent dans la zone au crépuscule et  restent jusqu’au lever du soleil.

«A 7 heures du matin, c’est plus fort que mon alerte », a déclaré Jess Priest.

« C’est vraiment mauvais. Il nous tient éveillé la nuit. Ils vont à la salle de bain partout. Nos voitures sont détruites », a déclaré Jen Sasko.

Le canal 11 de Dave Bondy Signalé que l’Université de Californie de Pennsylvanie, on sortit pour l’occasion lumières laser pour se débarrasser des corbeaux, et c’est quand ils ont fui à la Légion américaine sur Second Street.

Une femme qui vit dans la région dit qu’elle a fait un épouvantail dans l’espoir de débarrasser sa maison du problème.

« Un jour, j’étais tellement en colère que j’ai dit II allait construire un épouvantail. Je ne savais pas si elles réellement travaillé. Je l’ai mis dans l’arbre et elle n’a pas, » a dit Robinson Bree.

Les experts ont dit les corbeaux se perchent dans les villes pour être plus au chaud en hiver.

WPXI (cliquer sur le lien source  pour voir le reportage vidéo)
via le protocole d’extinction

 Autre source viahttp://enattendant-2012


Par Korben

Orange, Ô désespoir

Amis abonnés Orange, renseignez-vous, car apparemment, certaines conditions ont changé. C’est en tout cas ce que m’a expliqué Benjamin (merci) et soutenu par mes amis de Reflets.

Après s’être abonnés à l’ADSL avec Livebox Star pour 34,90 €/mois, ses parents ont reçu un email de confirmation de commande qui contenait le petit texte suivant :

mail orange Orange, Ô désespoir

Par l’acceptation de cette offre, vous autorisez France Télécom à utiliser les données relatives à votre trafic afin de pouvoir vous proposer les produits ou services de France Télécom pouvant répondre à vos besoins, et ce pour une durée de douze (12) mois à compter de leur émission. Vous pouvez vous opposer à cette utilisation à tout moment en contactant l’Orange Service Clients – Gestion des données personnelles – 33734 Bordeaux cedex 9.

Edit : Et on retrouve ce petit laïus sur toutes les conditions générales disponibles ici.

Cela signifie que les abonnés Orange acceptent à l’insu de leur plein grès de se mettre à poil face à Orange pour que ces derniers puissent analyser leur trafic Internet (avec du DPI – Deep Packet Inspection) pour ensuite leur cibler de la pub, leur vendre des conneries, ou tout simplement dresser un profil digne du plus curieux des Big Brother. Tout ce que vous faites sur le net n’aura plus de secret pour eux.

La confiance ?

MOUAHAHAH…

Alors bien sûr, le scandale, mis à part le DPI, c’est que personne n’a le choix et que par défaut tout le monde semble basculer en mode « espionné ». Et pour que cette surveillance s’arrête, il faudra envoyer un courrier. Franchement, je ne les comprends pas chez Orange. Ils le savent pourtant que ce genre de truc va créer un n-ième scandale ? Pourquoi est-ce qu’ils insistent ? C’est si dur que ça d’avoir une éthique ?

En tout cas, je pense que les abonnés vitaminés attendent en retenant son souffle la réponse officielle d’Orange. (Biz aux girls !)

Source Korben


Par Korben

Nicolas Sarkozy et ses têtes d’oeufs

Je regardais par curiosité les messages envoyé à @NicolasSarkozy sur Twitter, ce dernier ayant créé son compte ce matin… Comme je m’y attendais, beaucoup de réactions humoristiques, aigries et haineuse contre le président mais aussi quelques messages de soutien.

Un soutien qui a un point commun : Une tête d’oeuf !

cap 2012 02 15 a 22.03.00 Nicolas Sarkozy et ses têtes doeufs

cap 2012 02 15 a 22.02.45 Nicolas Sarkozy et ses têtes doeufs

Tous ces messages sont en réalité posté par de faux comptes gérés par des militants UMP désespérés et déprimants. Sérieux les gars, vous passez VRAIMENT pour des cons avec vos messages niais. Mettez au moins des avatars, ça fera plus vrai… D’ailleurs, la plupart de ces comptes ont au compteur des stats absolument géniales.

cap 2012 02 15 a 21.57.45 Nicolas Sarkozy et ses têtes doeufs

Là où c’est marrant, c’est que parfois, la moulinette (ou le militant) foire…

cap 2012 02 15 a 22.01.01 Nicolas Sarkozy et ses têtes doeufs

cap 2012 02 15 a 22.00.40 Nicolas Sarkozy et ses têtes doeufs

Mais je vous rassure, l’autre moitié des têtes d’oeufs, c’est le camp adverse qui balance les mêmes conneries mais en moins gentil.

cap 2012 02 15 a 22.33.11 Nicolas Sarkozy et ses têtes doeufsMerci @Anseaume

C’est pitoyale !!! Je ne sais pas quelle boite de comm se cache derrière ça mais une chose est sûre, elle fait un travail de sagouin.

pitoyale Nicolas Sarkozy et ses têtes doeufs

#fatigué source korben


 

ho.PNG

Voici un document exclusifoù Hollande alors au RPR casse la gauche

 

 

Une surprenante archive datant du début des années 80 dans laquelle on peut entendre notre futur Président François Hollande parler en tant que jeune membre du RPR (l’UMP de l’époque), attristé que la gauche n’ait pas encore disparu …

On retrouvera alors bien sûr François Hollande dans les rangs du … Parti Socialiste.

Votez Hollande, c’est votez Sarko. Vous saisissez maintenant ?

Source: wikistrike


Hadopi oblige, les fournisseurs d’accès doivent nécessairement participer au processus permettant l’identification des adresses IP un peu trop portées sur le téléchargement. Evidemment une telle démarche a un coût et après calcul, l’année 2011 leur a affiché une facture d’un montant de 2.5 millions d’euros, somme dont ils réclament le remboursement

Le processus de l’Hadopi est somme toute basique, une fois une adresse IP douteuse détectée par TMG (Trident Media Guard), il convient d’en identifier le propriétaire. Pour cela, la contribution des FAI est évidemment requise. Les fournisseurs d’accès sont sommés par la Haute Autorité de fournir e-mail, adresse postale, le nom et le prénom de l’abonné incriminé.

Sauf qu’une telle démarche engrange des frais et non des moindres. L’Express dévoile que cette astreinte coûte à l’ensemble des fournisseurs près de 2.5 millions d’euros. Alors que les premiers dossiers des internautes récalcitrants viennent d’être transmis à la justice, les opérateurs clament leur intention de récupérer leur dû. Seulement, la question irrite car le débat concernant le fameux remboursement de ces frais est en suspens depuis 2010.

  »SFR a adressé une facture de 500 000 euros fin 2011, tout comme Orange qui chiffre son intervention à 1,3 million d’euros. De son côté, Free a facturé ses prestations 630 000 euros. »

Si le statu quo semblait temporiser le débat, cette annonce le ravive inexorablement. Aux dernières nouvelles, le ministère de la Culture et de la Communication n’était pas favorable au règlement de la facture. A l’heure actuelle, le budget de l’Hadopi n’est que de 12 millions d’euros pour un an, le remboursement – si tant est qu’il devienne effectif –  va s’avérer des plus complexes.

Les sommes engagées sont telles que les fournisseurs d’accès ne vont certainement pas rester longtemps dans l’expectative.

© Christopher Meder – Fotolia.com

[l’Express] via gizmodo


De nombreux internautes ont fait part de leur indignation concernant la loi Hadopi. Il n’en fallait guère plus aux Anonymous pour donner la chasse à ceux qui occupent leur territoire. En représailles aux dernières mesures, les Anons sont allés jeter un coup d’œil aux courriels confidentiels circulant entre Haute Autorité et ayants droit.

Vous savez ce qu’on dit, quand un Anonymous veut des informations sur la Hadopi, il se sert à la source, c’est plus sûr. Les échanges interceptés par les hackers remontent à la date du 2 février et correspondent au moment précis où la Hadopi publiait le rapport « Znaty ». Ce rapport éponyme mettait en lumière l’efficacité et la fiabilité du système de surveillance des réseaux peer-to-peer avec force de détails.

Curieusement, il y a comme qui dirait « un petit problème » dévoilé par les mails piratés. En effet, la version de Znaty mise en ligne est publiée dans son intégralité, celle récupérée par les Anonymous a subi quelques modifications substantielles. Plus cocasse, la Hadopi s’est emmêlée les pinceaux et a publié la version complète contenant des informations confidentielles au lieu de la version édulcorée.

Dans la variante light divulguée par les cyberhackers, des pans entiers du rapport ont été escamotés (Ceux-ci étaient susceptibles d’altérer le travail de la TMG). L’organisme chargé de la fameuse collecte d’adresses IP a une méthode bien particulière pour réussir sa mission. De nombreux points techniques ont donc été publiquement exposés par erreur, ce qui permet évidemment aux internautes chevronnés de lancer corps et âme dans la recherche de parades.

Sauf qu’une fois mise en ligne, le mal était fait et les plus mécontents étaient les ayants droit. Benoit Solignac Lecomte (Sacem) écrit un mail – intercepté par les Anons – dans lequel il fait part de son mécontentement à Rose-Marie Hunault (Directrice de la protection des droits au sein de la Hadopi).

« Nous sommes opposés à une telle publication qui ne peut qu’affaiblir le rapport de monsieur David Znaty et les actions judiciaires initiées par la Hadopi, sans compter les réactions partisanes qu’elle ne va pas manquer de susciter, de nature à instiller le doute dans l’esprit des magistrats. »

L’affaire ne semble pas entérinée, dans un autre mail, Madame Hunault précise que les

« annexes du rapport sont conservées dans un coffre à la Hadopi pour n’être consultées, le cas échéant, que par un nouvel expert qui pourrait être désigné par un juge ».

Une déclaration qui sera éventuellement perçue comme un nouveau défi pour les Anonymous. Au final, c’est une nouvelle bourde pour Hadopi qui voit ses points de crédibilité fondre comme neige au soleil.

[LePoint] via gizmodo


Le code source de pcAnywhere a été publié par Les Anonymous
Edition du 07/02/2012 – par Jacques Cheminat avec IDG News Service

 

Les Anonymous ont revendiqué la mise à disposition du code source de pcAnywhere sur le site The Pirate Bay. Début janvier, Symantec aurait proposé 50 000 dollars à un des pirates pour empêcher la publication du code.

Le groupe de hackers Anonymous a revendiqué hier la publication du code source du logiciel pcAnywhere de Symantec sur le site The Pirate Bay. Le fichier pèse 1,27 Go. Symantec n’a pas confirmé que les pirates avaient bien publié le code source de son produit. « C’est arrivé si rapidement que nous sommes encore dans le processus d’analyse et nous ne pourrons nous prononcer que demain matin », a déclaré un porte-parole de Symantec à notre confrère d’IDG NS, John Ribeiro.

Cette publication sur The Pirate Bay intervient quelques heures après la présentation de plusieurs échanges de mails sur le site Pastebin montrant une négociation entre un certain Sam Thomas, censé être un employé de Symantec, mais utilisant un adresse Gmail et une personne dénommée Yamatough, sur le paiement d’une somme pour ne pas publier le code source. Le nom du pirate, déjà utilisé sur Twitter, est lié au groupe de hackers « les seigneurs de Dharmaraja », qui affirmait détenir le code source de produits Symantec.

Une enquête derrière les 50 000 dollars

« Nous allons vous payer 50 000 dollars au total,» a déclaré Sam Thomas dans un e-mail au début du mois. Il a cependant voulu avoir l’assurance que le pirate ne publie pas le code source après le paiement, en proposant de payer 2 500 dollars par mois pendant les trois premiers mois. « Si après les trois premiers mois, vous nous avez convaincu de la destruction du code, nous paierons le solde. Nous avons confiance en vous pour que cela soit la fin de cette affaire » précise le mail. Yamatough a rejeté l’offre et a indiqué lundi soir dans un message qu’il laissait 10 minutes à Symantec pour se décider. Sam Thomas a répondu « nous ne pouvons pas prendre une décision en dix minutes, nous avons besoin de plus de temps ».

Symantec a expliqué que l’offre de 50 000 dollars proposée au pirate faisait partie d’une enquête. L’éditeur n’a toutefois pas dévoilé le nom de la société de sécurité privé menant les investigations, estimant que l’enquête est toujours en cours. Dans les messages publiés sur Pastebin, le pirate soupçonnait le FBI d’être derrière cette enquête.

Source: reseaux-telecoms.net/